Le principe du déni de justice incarne la mauvaise administration de la justice par les tribunaux locaux.[6] Les actes interdits de la justice locale tournent principalement autour de l'accès à la justice, discrimination et exécution lente ou inexistante de décisions de justice favorables à un investisseur étranger.[7] L'une des définitions les plus anciennes et les plus citées du déni de justice […]
Mécanismes d'appel pour le RDIE: Incohérence & Imprévisibilité des sentences arbitrales
Règlement des différends entre investisseurs et États ("ISDS") a été critiqué pour l'absence d'un mécanisme d'appel et l'incohérence et l'imprévisibilité de certaines sentences arbitrales rendues. Les opposants à l'ISDS affirment que, car des décisions pouvant éventuellement affecter les intérêts publics sont en jeu, il n'est pas souhaitable que les mauvaises décisions prises par les tribunaux arbitraux ne soient pas susceptibles d'appel. […]
Arbitrage investisseur-État: Qui se qualifie en tant qu'investisseur étranger?
Les protections d'investissement les plus simples à comprendre, ainsi que le plus large, sont généralement prévus dans les traités bilatéraux d'investissement ("Morceaux"). La protection par le biais des TBI n'est pas accordée à chaque entité étrangère qui est affectée par les mesures d'un État hôte d'investissement, toutefois. Afin de bénéficier de la protection du BIT, les acteurs commerciaux doivent être considérés comme des investisseurs […]
Sanctions économiques dans l'arbitrage international
Les questions concernant les sanctions économiques dans l'arbitrage international se posent fréquemment. Les sanctions économiques sont un outil couramment utilisé de la politique étrangère qui peut avoir un impact significatif sur l'exécution des droits et obligations contractuels des parties. Bien qu'il existe de nombreuses façons dont les sanctions économiques peuvent interférer avec l'arbitrage international, nous allons nous concentrer sur la question de la […]
Avance sur les frais d'arbitrage CCI
Dans l'arbitrage CCI, généralement à la réception de la réponse à la demande d'arbitrage ou à l'expiration du délai pour celle-ci[1], les parties sont tenues de payer une avance sur les frais. Ce paiement est primordial «afin de garantir à l'avance les ressources financières nécessaires à la conduite de la procédure d'arbitrage».[2] L'avance […]